vendredi 4 mars 2011

LE DESARROI

ceci n'est guère une simple contribution.Ceci est un véritable cri du coeur d'un élève,d'un lycéen de l'école public comme tant d'autres qui font face aux perturbations régulières qui ralentissent le déroulement normal des cours et dont les conséquences sont si néfastes que j'ai trouvé opportun et nécessaire d'écrire ce petit bout de papier pour rappeler  l'importance qu'a l'éducation sur nous jeunes et de l'importance que nous avons sur le futur de notre cher et précieux Sénégal, notre patrie.Voici 5 mois que l'école a ouvert ses portes pour une année 2010/2011 meilleur que la précédente marquée par des perturbations nombreuses et gênantes et par des résultats aux examens peu convaincantes mais réalistes.Hélas mais pour cette année ci la situation reste routinière.Aucune amélioration sinon une dégradation sans appel qui secoue l'école sénégalaise.Notre quotidien d'antan a celle ci qui était:étudier,étudier,étudier,étudier,faire grève,étudier...se résume aujourd'hui a:étudier,débrayer,débrayer,faire grève,faire grève,étudier,débrayer...Autrement dit,avant les cours étaient plus nombreuses que les perturbations ce qui du moins tout naturel.Mais de nos jours,c'est l'inverse qui se passe,ce qui est dangereux et inacceptable pour un pays qui tend vers le développement durable.en effet il ne se passe plus un jour sans qu'il n'ait de grèves,de débrayages ou de journées noires.Ces perturbations,qui sont pour la plus part des réclamations du corps enseignant à l'Etat,nous affaiblissent dangereusement et dont les conséquences s’abattent finalement sur nous,jeunes,futurs dirigeants du pays.Ainsi le résultat de ces agissements pourrait se résumer pour nous à cette citation qui dit:"le savoir que l'on ne complète pas chaque jour diminue tous les jours".En effet si les enseignants campent sur leur position et que le gouvernement ne réponde pas favorablement d'un iota sur les exigences de ces derniers,notre génération pourrait se confronter à d'énormes difficultés quand le moment sera venu pour nous de diriger,de tenir les rênes de notre pays car peu de nous sortirons diplômés et bien armés pour défendre ses intérêts dans le pur professionnalisme.en somme,j'en appelle à la conscience et à la réflexion de tous:gouvernants,enseignants,politiciens,membres de la société civile,intellectuels,journalistes...pour qu'ils se lèvent,réagissent et font de sorte que cette étincelle qui est en train de jaillir ne finisse pas par brûler cette foret encore verdâtre qui fait encore notre force.
                                                                                    PAPA MADIAKHATE SARR

vendredi 3 décembre 2010

 Le paludisme est une maladie grave transmise par les piqûres de moustiques. Chaque année environ 300 à 500 millions de cas de paludisme à travers le monde entraînent le décès d'un million d'enfants. Dans les régions où le paludisme est courant, il peut être la cause principale du décès et du retard de croissance du jeune enfant.

Le paludisme est particulièrement dangereux pour la femme enceinte. Il peut provoquer une anémie grave, une fausse couche, la naissance d'un enfant mort-né, une insuffisance pondérale à la naissance et le décès de la mère.

On peut sauver de nombreuses vies grâce à la prévention et au traitement rapide du paludisme.
le Sénégal fait de vrai avancées mais avec cette maladie il faut toujours etre vigilent et que les hopitaux et centre de santé soient plus armés. il faut aussi que les gens soient plus sensibilisés de maniére pointue car il y a encore des personne qui la négligent et qui au lieu d'aller se faire consulter achetent des medicaments a tout va. agissons vite fait et bien fait.